CAE publie ses résultats du deuxième trimestre de l’exercice 2025

  • Produits des activités ordinaires de 1 136,6 millions $, par rapport à 1 050,0 millions $ à l’exercice précédent
  • Résultat par action (RPA) des activités poursuivies de 0,16 $, par rapport à 0,17 $ à l’exercice précédent
  • RPA ajusté(1) de 0,24 $, par rapport à 0,26 $ à l’exercice précédent
  • Résultat opérationnel de 118,1 millions $, par rapport à 97,7 millions $ à l’exercice précédent
  • Résultat opérationnel sectoriel ajusté(1) de 149,0 millions $, par rapport à 135,6 millions $ à l’exercice précédent
  • Flux de trésorerie disponibles(1) de 140,0 millions $, par rapport à 147,4 millions $ à l’exercice précédent
  • Prises de commandes ajustées(1) de 3,0 milliards $ et carnet de commandes ajusté(1) record de 18,0 milliards $
  • Conclusion fructueuse de l’intégration d’AirCentre et du programme de restructuration à l’échelle de l’entreprise
  • Après la clôture du trimestre, acquisition d’une participation majoritaire dans SIMCOM pour 230 millions $ US et prolongation d’une entente de formation exclusive dans le domaine de l’aviation d’affaires avec Flexjet et les membres de son groupe pour en porter la durée à 15 ans
Montréal (Canada), le 12 novembre 2024 – (NYSE : CAE; TSX : CAE)
Entreprise Communiqué de presse

CAE inc. (« CAE » ou la « Société ») annonce aujourd’hui ses résultats financiers du deuxième trimestre clos le 30 septembre 2024. La Société a également annoncé la conclusion de l’intégration de la division AirCentre de Sabre axée sur les opérations aériennes (AirCentre) et de son programme de restructuration à l’échelle de l’entreprise qui visait à rationaliser le modèle d’exploitation et le catalogue de CAE, à optimiser sa structure de coûts et à générer des gains d’efficacité.

« Je suis très satisfait des progrès réalisés au cours du trimestre, qui témoignent d’une exécution solide et d’une demande soutenue de la part du marché pour les solutions de nos secteurs Aviation civile et Défense et Sécurité. Dans le secteur Défense, nous avons réalisé une croissance marquée et une amélioration importante de la marge en tirant parti de nos améliorations structurelles et de la rationalisation de l’organisation », a déclaré Marc Parent, président et chef de la direction de CAE. « Nous avons également réalisé de grands progrès pour atténuer le risque en achevant un ancien contrat du carnet de commandes de notre secteur Défense et pour assurer la croissance future en obtenant un contrat transformateur de 1,7 milliard $ dans le cadre du Programme de formation du personnel navigant de l’avenir du Canada. »

« Malgré les défis à court terme au niveau de la chaîne d’approvisionnement qui entravent le secteur du transport aérien, les perspectives de croissance à long terme du secteur Civil demeurent solides, ce qui souligne la stratégie d’investissement convaincante de CAE. L’important investissement interne que nous avons annoncé la semaine dernière dans le but d’accroître notre participation dans SIMCOM renforcera notre présence sur le marché principal de la formation dans le domaine de l’aviation d’affaires, augmentera les revenus récurrents et renforcera notre engagement à fournir des solutions de formation de calibre mondial à un segment de clientèle essentiel. Propulsé par des prises de commandes consolidées ajustées de 3,0 milliards $ et un carnet de commandes ajusté record de 18,0 milliards $ pour le trimestre, l’avenir de CAE s’annonce exceptionnellement prometteur. »

Résultats consolidés

Au deuxième trimestre de l’exercice 2025, les produits des activités ordinaires se sont établis à 1 136,6 millions $, comparativement à 1 050,0 millions $ au deuxième trimestre de l’exercice précédent. Le RPA des activités poursuivies s’est établi à 0,16 $ au deuxième trimestre, comparativement à 0,17 $ à l’exercice précédent. Le RPA ajusté a totalisé 0,24 $ au deuxième trimestre, comparativement à 0,26 $ à l’exercice précédent.

Le résultat opérationnel du trimestre s’est établi à 118,1 millions $ (10,4 % des produits des activités ordinaires(1)), comparativement à 97,7 millions $ (9,3 % des produits des activités ordinaires) à l’exercice précédent. Au deuxième trimestre, le résultat opérationnel sectoriel ajusté s’est établi à 149,0 millions $ (13,1 % des produits des activités ordinaires(1)), par rapport à 135,6 millions $ (12,9 % des produits des activités ordinaires) à l’exercice précédent. Toute l’information financière est en dollars canadiens et les résultats sont présentés sur la base des activités poursuivies, à moins d’indication contraire. Les chiffres de la période correspondante ont été retraités de façon à refléter les activités abandonnées.

Sommaire des résultats consolidés

(montants en millions, sauf les montants par action)
T2-2025
  T2-2024
  Variation
en %

 
Produits des activités ordinaires
1 136,6
$
1 050,0
$
8
%
Résultat opérationnel
118,1
$
97,7
$
21
%
Résultat opérationnel sectoriel ajusté(1)
149,0
$
135,6
$
10
%
En pourcentage des produits des activités ordinaires(1)
13,1
%
12,9
%
   
Résultat net attribuable aux détenteurs d’instruments de capitaux propres
de la Société
52,5
$
58,4
$
(10)
%
Résultat par action (RPA) des activités poursuivies
0,16
$
0,17
$
(6)
%
RPA ajusté(1)
0,24
$
0,26
$
(8)
%
Prises de commandes ajustées(1)
2 955,3
$
1 145,1
$
158
%
Carnet de commandes ajusté(1)
18 041,2
$
11 773,1
$
53
%

1) Le présent communiqué de presse comprend des mesures financières non conformes aux IFRS, des ratios non conformes aux IFRS, des mesures de gestion du capital et des mesures financières supplémentaires. Ces mesures ne sont pas des mesures financières normalisées en vertu des IFRS; le lecteur doit donc se garder de les confondre avec les mesures du rendement établies conformément aux IFRS ou de les substituer à celles-ci. En outre, il doit éviter de comparer ces mesures aux mesures portant un nom similaire que fournissent ou utilisent d’autres émetteurs. Veuillez vous reporter à la section « Mesures non conformes aux IFRS et autres mesures financières » du présent communiqué de presse pour une définition de ces mesures et leur rapprochement avec la mesure conforme aux IFRS la plus directement comparable.

Aviation civile (Civil)

Pour le deuxième trimestre, le secteur Civil a enregistré des produits des activités ordinaires de 640,7 millions $, par rapport à 572,6 millions $ pour le deuxième trimestre de l’exercice précédent. Le résultat opérationnel s’est établi à 94,7 millions $ (14,8 % des produits des activités ordinaires), par rapport à 88,4 millions $ (15,4 % des produits des activités ordinaires) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le résultat opérationnel sectoriel ajusté a totalisé 115,9 millions $ (18,1 % des produits des activités ordinaires), par rapport à 114,3 millions $ (20,0 % des produits des activités ordinaires) pour le deuxième trimestre de l’exercice précédent. Au cours du trimestre, le secteur Civil a livré 18 simulateurs de vol (FFS) à des clients, et le taux d’utilisation de ses centres de formation s’est établi à 70 %.

Le secteur Civil a obtenu ce trimestre des contrats de solutions de formation d’une valeur de 693,3 millions $, notamment une série d’accords de formation à long terme dans le domaine de l’aviation commerciale et d’affaires, des contrats pour des services aériens numériques et des contrats visant la vente de 16 FFS, dont 4 avions à fuselage étroit COMAC C919.

Le ratio valeur comptable des commandes/ventes(1) du secteur Civil s’est établi à 1,08 pour le trimestre et à 1,23 pour les 12 derniers mois. Le carnet de commandes ajusté du secteur Civil s’établissait à 6,7 milliards $ à la fin du trimestre.

Après la clôture du trimestre, CAE a annoncé qu’elle augmentera sa participation dans sa coentreprise existante SIMCOM Aviation Training (SIMCOM) en achetant la majorité des actions de SIMCOM auprès de Volo Sicuro pour une contrepartie de 230 millions $ US, sous réserve des ajustements d’usage, devant être financée au moyen de la facilité de crédit existante et de l’encaisse de CAE. Dans le cadre de l’opération, Flexjet, LLC, partie apparentée de Volo Sicuro, conserve une participation minoritaire dans SIMCOM. En outre, CAE et SIMCOM ont prolongé chacune leur entente exclusive de services de formation pour l’aviation d’affaires respective avec Flexjet et les membres de son groupe pour une période de 5 ans. Ainsi, il en résulte une période d’exclusivité restante de 15 ans à l’égard des deux ententes.

Sommaire des résultats – Aviation civile

(montants en millions)
T2-2025
  T2-2024
  Variation
en %

 
Produits des activités ordinaires
640,7
$
572,6
$
12
%
Résultat opérationnel
94,7
$
88,4
$
7
%
Résultat opérationnel sectoriel ajusté
115,9
$
114,3
$
1
%
En pourcentage des produits des activités ordinaires
18,1
%
20,0
%
   
Prises de commandes ajustées
693,3
$
617,8
$
12
%
Carnet de commandes ajusté
6 663,1
$
5 903,1
$
13
%
             
Renseignements non financiers supplémentaires
           
Nombre équivalent de simulateurs
276
  268
  3
%
FFS dans le réseau de CAE
355
  331
  7
%
FFS livrés
18
  11
  64
%
Taux d’utilisation
70
%
71
%
(1)
%

Défense et Sécurité (Défense)

Pour le deuxième trimestre, le secteur Défense a enregistré des produits des activités ordinaires de 495,9 millions $, par rapport à 477,4 millions $ pour le deuxième trimestre de l’exercice précédent. Le résultat opérationnel s’est établi à 23,4 millions $ (4,7 % des produits des activités ordinaires), par rapport à 9,3 millions $ (1,9 % des produits des activités ordinaires) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Pour le trimestre, le résultat opérationnel sectoriel ajusté a totalisé 33,1 millions $ (6,7 % des produits des activités ordinaires), par rapport à 21,3 millions $ (4,5 % des produits des activités ordinaires) pour le deuxième trimestre de l’exercice précédent.

Le secteur Défense a obtenu ce trimestre des commandes d’une valeur de 2,3 milliards $, pour un ratio valeur comptable des commandes/ventes de 4,56. Ce ratio s’est établi à 2,04 pour les 12 derniers mois. Le carnet de commandes ajusté du secteur Défense, y compris les contrats non financés obtenus et la participation de CAE dans des coentreprises, s’établissait à 11,4 milliards $ à la fin du trimestre, en hausse par rapport à 10,4 milliards $ à la fin du premier trimestre de l’exercice 2025. Au deuxième trimestre de l’exercice 2025, un montant de 1,7 milliard $ a été ajouté au carnet de commandes ajusté par suite de l’obtention par CAE d’un contrat de sous‑traitance de 25 ans accordé par SkyAlyne en soutien au Programme de formation du personnel navigant de l’avenir (FPNA) du Canada. En vertu de ce contrat de sous-traitance, CAE élaborera et fournira initialement une gamme de simulateurs et de dispositifs de formation pour les diverses flottes d’aéronefs achetées dans le cadre du programme FPNA. Ces dispositifs d’entraînement devraient être livrés au cours des cinq prochaines années. Comme elle l’a annoncé, en plus de ce contrat initial de sous-traitance d’environ 1,7 milliard $, CAE devrait également signer une commande complémentaire à court terme portant sur des services de soutien liés à la maintenance. Le bassin d’occasions d’affaires du secteur Défense dans son ensemble demeure particulièrement solide, des soumissions et propositions d’une valeur de quelque 7,2 milliards $ étant en attente de la décision des clients.

Sommaire des résultats – Défense et Sécurité

(montants en millions)
T2-2025
  T2-2024
  Variation
en %

 
Produits des activités ordinaires
495,9
$
477,4
$
4
%
Résultat opérationnel
23,4
$
9,3
$
152
%
Résultat opérationnel sectoriel ajusté
33,1
$
21,3
$
55
%
En pourcentage des produits des activités ordinaires
6,7
%
4,5
%
   
Prises de commandes ajustées
2 262,0
$
527,3
$
329
%
Carnet de commandes ajusté
11 378,1
$
5 870,0
$
94
%

Autres points saillants financiers

CAE a engagé des coûts de 5,1 millions $ relativement à l’intégration d’AirCentre, qui a été achevée au cours du trimestre considéré, ainsi que des coûts de 25,8 millions $ dans le cadre de son programme de restructuration qui vise à rationaliser le modèle d’exploitation et le catalogue de CAE, à optimiser sa structure de coûts et à générer des gains d’efficacité. Nous avons achevé ce programme de restructuration au deuxième trimestre de l’exercice 2025 et ne comptons pas engager de coûts de restructuration supplémentaires. CAE s’attend à réaliser pleinement les économies annuelles connexes d’environ 20 millions $ d’ici la fin du prochain exercice.

Pour le trimestre considéré, le montant net des charges financières s’est établi à 52,9 millions $, comparativement à 49,5 millions $ pour le trimestre précédent et à 47,1 millions $ pour le deuxième trimestre de l’exercice précédent.

La charge d’impôt sur le résultat s’est établie à 10,4 millions $ ce trimestre, ce qui correspond à un taux d’imposition effectif de 16 %, par rapport à un taux négatif de 16 % au deuxième trimestre de l’exercice précédent. Le taux d’imposition effectif ajusté(1), qui s’entend du taux d’imposition utilisé pour calculer le résultat net ajusté et le RPA ajusté, s’est établi à 18 % pour le trimestre, comparativement à 1 % pour le deuxième trimestre de l’exercice précédent. L’augmentation du taux d’imposition effectif ajusté traduit essentiellement la comptabilisation, à l’exercice précédent, d’actifs d’impôt différé non comptabilisés auparavant ainsi que la composition des produits des activités ordinaires provenant de différents territoires pour l’exercice considéré.

Les flux de trésorerie nets liés aux activités opérationnelles se sont établis à 162,1 millions $ pour le trimestre, comparativement à 180,2 millions $ pour le deuxième trimestre de l’exercice précédent. Les flux de trésorerie disponibles(1) se sont établis à 140,0 millions $ ce trimestre, comparativement à 147,4 millions $ au deuxième trimestre de l’exercice précédent. La diminution s’explique essentiellement par l’apport moindre du fonds de roulement hors trésorerie.

Les dépenses d’investissement en immobilisations liées à la croissance et à la maintenance(1) ont totalisé 57,0 millions $ pour le trimestre.

À la fin du trimestre, la dette nette(1) était de 3 064,9 millions $ et le ratio de la dette nette sur le BAIIA ajusté(1) était de 3,25 (2,97, abstraction faite des anciens contrats(1)(2)). À la fin du trimestre précédent, la dette nette était de 3 129,7 millions $ et le ratio de la dette nette sur le BAIIA ajusté était de 3,41 (3,11, abstraction faite des anciens contrats).

Le rendement du capital utilisé ajusté(1) s’est établi 5,5 % pour le trimestre, comparativement à 5,7 % au trimestre précédent et à 7,1 % au deuxième trimestre de l’exercice précédent.

Au cours du trimestre, CAE a racheté et annulé 392 730 actions ordinaires aux termes de son offre publique de rachat dans le cours normal des activités, qui a pris effet le 30 mai 2024, au prix moyen pondéré de 24,43 $ l’action ordinaire, pour une contrepartie totale de 9,6 millions $.

1) Le présent communiqué de presse comprend des mesures financières non conformes aux IFRS, des ratios non conformes aux IFRS, des mesures de gestion du capital et des mesures financières supplémentaires. Ces mesures ne sont pas des mesures financières normalisées en vertu des IFRS; le lecteur doit donc se garder de les confondre avec les mesures du rendement établies conformément aux IFRS ou de les substituer à celles-ci. En outre, il doit éviter de comparer ces mesures aux mesures portant un nom similaire que fournissent ou utilisent d’autres émetteurs. Veuillez vous reporter à la section « Mesures non conformes aux IFRS et autres mesures financières » du présent communiqué de presse pour une définition de ces mesures et leur rapprochement avec la mesure conforme aux IFRS la plus directement comparable.

2) Au sein du secteur Défense, bon nombre de contrats à prix fixe offrent certains avantages et gains d’efficacité potentiels, mais peuvent également être marqués par l’évolution défavorable de la conjoncture économique, y compris les perturbations inattendues de la chaîne d’approvisionnement, les pressions inflationnistes, la disponibilité de la main-d’œuvre et les difficultés d’exécution. Ces risques peuvent entraîner des dépassements de coûts et une réduction des marges bénéficiaires ou des pertes. Bien que ces risques puissent souvent être gérés ou atténués, il y a huit anciens contrats distincts qui ont été conclus avant la pandémie de COVID‑19 ayant une structure de contrat à prix fixe, avec peu ou pas de disposition pour des hausses des coûts, et qui ont été plus lourdement touchés par ces risques (les « anciens contrats »).

Développement durable

Ce trimestre, CAE a reçu l’approbation de la SBTi (Science Based Targets Initiative) pour ses cibles de décarbonation, s’engageant à réduire de 85,7 % les émissions de portées 1 et 2 et de 32,5 % les émissions de portée 3 d’ici l’exercice 2033. Cette réalisation souligne l’engagement de CAE à l’égard du développement durable et de la gestion de l’environnement. Au cœur de cette réussite se trouve l’engagement de CAE envers sa chaîne de valeur dans sa démarche de développement durable par l’entremise de l’International Aerospace Environment Group (IAEG) et à titre de partenaire de lancement de Décarbone+, un OSBL qui vise à accélérer l’atteinte des cibles de décarbonation des organisations au Québec. Ces collaborations soulignent le leadership de CAE dans la promotion de pratiques et de changements durables dans l’ensemble de sa chaîne de valeur.

Par ailleurs, CAE a reçu le prix Altitude 2024 décerné par le Black Aviation Professionals Network, en reconnaissance de son apport et de son leadership dans la promotion de la diversité et de l’inclusion dans le secteur aéronautique.

Pour en savoir plus sur la feuille de route et les réalisations de CAE en matière de développement durable, consultez le rapport, au https://www.cae.com/fr/developpement-durable/.

Perspectives de la direction

Civil

La demande à long terme pour les solutions de formation aéronautique demeure intéressante et la Société demeure bien positionnée. Les problèmes d’approvisionnement des fabricants OEM se répercutent sur les prévisions relatives à la demande de formation des compagnies aériennes et demeurent un obstacle à court terme pour une partie des activités de formation dans le domaine de l’aviation commerciale de CAE. Malgré les retards que cela occasionne sur les produits des activités ordinaires qui devraient être tirés de la formation initiale des pilotes professionnels, la direction vise toujours une croissance annuelle d’environ 10 % du résultat opérationnel sectoriel ajusté du secteur Civil et prévoit une meilleure performance au second semestre de l’exercice. Les éléments favorables qui, selon la direction, devraient aider à compenser l’incidence des problèmes d’approvisionnement des fabricants OEM comprennent une relution provenant de la participation désormais plus importante dans SIMCOM, les bénéfices des initiatives de réduction des coûts et le caractère saisonnier favorable des activités au second semestre de l’exercice, ce qui est habituel pour l’aviation commerciale et l’aviation d'affaires. De plus, l’accroissement de la rentabilité au sein des Solutions pour les opérations aériennes et l’augmentation des volumes et de la rentabilité provenant des livraisons de simulateurs de vol (FFS) devraient propulser le rendement du second semestre. La direction s’attend à ce que la marge opérationnelle sectorielle ajustée annuelle du secteur Civil s’établisse entre 22 % et 23 % et prévoit des possibilités de croissance en matière de volumes, d’efficacité et de composition des ventes bien supérieures à celles de l’exercice en cours.

Défense

La direction est d’avis que CAE est bien placée pour connaître une croissance à long terme et accroître sa rentabilité dans le secteur Défense, alors que le secteur amorce un cycle haussier prolongé en raison de l’augmentation des budgets dans les pays de l’OTAN et des pays alliés. L’intensification des tensions géopolitiques attire l’attention sur les menaces provenant d’adversaires de force comparable et la modernisation et la préparation de la défense, ce qui stimule la demande pour les solutions de formation et de simulation offertes par CAE. La demande pour les solutions d’entraînement du secteur Défense de CAE demeure forte, en raison de la pénurie mondiale de personnel en uniforme, ce qui incite les forces armées à s’associer à CAE pour soutenir leur préparation. Après avoir récemment redéfini le secteur Défense et pris en compte de manière substantielle le risque lié aux programmes précédemment relevé, la direction s’attend à une croissance annuelle des produits des activités ordinaires du secteur Défense se situant dans la fourchette inférieure du pourcentage à un chiffre et à une augmentation de sa marge opérationnelle sectorielle ajustée annuelle d’environ 6 % à 7 % pour l’exercice 2025, avec également des possibilités de croissance au-delà de l’exercice en cours. De même, la direction s’attend à ce que le rendement annuel du secteur Défense s’accentue au cours de la deuxième moitié de l’exercice. En outre, après avoir achevé l’un des anciens contrats du secteur Défense au deuxième trimestre, la direction compte en faire de même avec deux autres contrats de ce type d’ici la fin de l’exercice.

Pour l’ensemble de CAE, la direction continue de viser une croissance du RPA sur trois ans (de l’exercice 2022 à l’exercice 2025) dans la fourchette médiane du pourcentage à deux chiffres.

Charges financières et charge d’impôt

La direction s’attend à ce que les charges financières annuelles soient similaires à celles de l’exercice 2024. Le taux d’imposition effectif annuel devrait être d’environ 25 %, compte tenu des produits des activités ordinaires attendus des divers territoires et de la mise en œuvre des politiques d’impôt mondial minimum.

Priorités équilibrées en matière de répartition du capital et investissements de croissance relutifs

CAE s’attend maintenant à ce que ses dépenses d’investissement en immobilisations totales pour l’exercice 2025 soient légèrement inférieures à la fourchette qu’elle avait indiquée précédemment, soit de 50 à 100 millions $ de plus que celles de l’exercice 2024, qui ont totalisé 329,8 millions $. Dans la foulée du succès continu de CAE à saisir les occasions d’affaires dans le domaine de la formation, environ les trois quarts de cette somme sont liés à des investissements de croissance interne dans des simulateurs qui seront déployés dans le réseau mondial de CAE, principalement les centres de formation aéronautique et soutenus par des contrats pluriannuels avec les clients.

Situation financière solide

L’un des principes à l’égard des priorités de CAE en matière de gestion du capital est le maintien d’une situation financière solide, et la Société s’attend à continuer de renforcer son bilan grâce au désendettement continu, à la mesure de son profil de placement de qualité. CAE cible un ratio d’endettement mesuré par la dette nette sur le BAIIA ajusté inférieur à trois (3) d’ici la clôture de l’exercice.

Rendement du capital investi à court terme pour les actionnaires

Compte tenu des progrès réalisés par CAE au cours des 12 derniers mois pour renforcer sa situation financière, une offre publique de rachat dans le cours normal des activités a été établie dans le cadre de sa stratégie de gestion du capital et est actuellement destinée à être utilisée, au moment opportun, à même l’excédent de flux de trésorerie disponibles. À la lumière des perspectives de la Société et de la capacité de ses activités hautement récurrentes à générer de la trésorerie, le conseil d’administration de CAE continuera également d’évaluer la possibilité de réinstaurer un dividende à l’intention des actionnaires.

Mise en garde concernant les perspectives

Les perspectives de la direction pour l’exercice 2025 et les objectifs et attentes ci-dessus constituent des énoncés prospectifs au sens des lois sur les valeurs mobilières applicables et sont fondés sur un certain nombre d’hypothèses, notamment en ce qui concerne les conditions de marché en vigueur, les facteurs macroéconomiques et géopolitiques, les chaînes d’approvisionnement et les marchés du travail. Les attentes sont également assujetties à nombre de risques et d’incertitudes et sont fondées sur des hypothèses concernant la réceptivité des clients aux solutions de formation et de soutien opérationnel de CAE, ainsi que sur les hypothèses importantes formulées dans ce communiqué, dans le rapport de gestion trimestriel et dans le rapport de gestion de l’exercice 2024 de CAE, qui sont tous disponibles sur notre site Web (www.cae.com), sur SEDAR+ (www.SEDARplus.ca) et sur EDGAR (www.sec.gov). Veuillez consulter les sections intitulées « Mise en garde concernant les énoncés prospectifs », « Hypothèses importantes » et « Risques importants », plus loin.

Information détaillée

Nous recommandons fortement aux lecteurs de consulter le rapport de gestion ainsi que les états financiers consolidés de CAE pour le trimestre clos le 30 septembre 2024, qui sont disponibles sur notre site Web (www.cae.com), sur SEDAR (www.SEDARplus.ca) et sur EDGAR (www.sec.gov), pour obtenir une analyse plus détaillée de nos résultats sectoriels. Les détenteurs de titres de CAE peuvent également obtenir un exemplaire imprimé des états financiers consolidés et du rapport de gestion de la Société, sans frais, en communiquant avec le service de Relations avec les investisseurs ([email protected]).

Conférence téléphonique sur les résultats du T2 de l’exercice 2025

Marc Parent, président et chef de la direction de CAE; Constantino Malatesta, chef de la direction financière par intérim; et Andrew Arnovitz, vice-président principal, Relations avec les investisseurs et Gestion du risque d’entreprise, tiendront une conférence téléphonique qui sera axée sur les résultats demain à 8 h (HE). La conférence est destinée aux analystes, aux investisseurs institutionnels et aux médias. Le numéro à composer pour entendre cette téléconférence est le +1-844-763-8274 ou le +1-647-484-8814. Une diffusion audio en direct sera accessible sur le site Web de CAE à www.cae.com.

À propos de CAE

CAE fournit aux personnes occupant des fonctions critiques le savoir-faire et les solutions nécessaires afin de rendre le monde plus sécuritaire. En tant qu’entreprise technologique, nous tirons parti des technologies numériques pour recréer le monde réel en déployant des solutions logicielles de formation fondées sur la simulation et de soutien opérationnel critique. Par-dessus tout, nous permettons aux pilotes, aux membres d’équipage, aux techniciens de maintenance, aux compagnies aériennes, aux exploitants d’avions d’affaires, et aux forces de défense et de sécurité de donner le meilleur d’eux-mêmes, chaque jour et lorsque les enjeux sont les plus élevés. Dans le monde entier, nous sommes présents partout où les clients ont besoin de nous, avec quelque 13 000 employés répartis dans plus de 240 emplacements et centres de formation dans plus de 40 pays. CAE s’appuie sur plus de 75 ans d’innovations dans la conception de simulateurs de vol et de missions de la plus haute fidélité possible ainsi que des programmes de formation alimentés par les technologies numériques. Nous intégrons le développement durable dans tout ce que nous faisons. Aujourd’hui comme demain, nous nous assurerons que nos clients sont prêts lors des moments qui comptent le plus.

Mise en garde concernant les contraintes liées au communiqué sommaire des résultats

Ce communiqué sommaire des résultats renferme des renseignements limités qui visent à aider le lecteur à évaluer le rendement de CAE, mais ces renseignements ne devraient pas être utilisés par les lecteurs qui ne connaissent pas CAE et ne devraient en aucun cas remplacer les états financiers, les notes annexes aux états financiers et le rapport de gestion de CAE.

Mise en garde concernant les énoncés prospectifs

Le présent communiqué contient des énoncés de nature prospective concernant nos activités, les événements et les faits nouveaux qui pourraient selon nous avoir lieu dans l’avenir. Il s’agit par exemple d’énoncés concernant notre vision, nos stratégies, les tendances et perspectives commerciales, nos produits des activités ordinaires futurs, notre bénéfice, la croissance de nos flux de trésorerie, les tendances du bénéfice, nos dépenses d’investissement en immobilisations liées à la croissance et nos expansions et initiatives nouvelles, y compris les initiatives ayant trait aux questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG), nos obligations financières, nos liquidités disponibles, nos ventes futures, la conjoncture économique et politique en général, les tendances inflationnistes, les perspectives et tendances d’un secteur d’activité, les économies de coûts récurrentes annuelles prévues qui découleront des programmes d’excellence opérationnelle, notre gestion de la chaîne d’approvisionnement, les marchés potentiels estimés, la demande pour les produits et les services de CAE, notre accès aux ressources en capital, notre situation financière, l’accroissement prévu de divers paramètres financiers, les remboursements de capital prévus pour les actionnaires, nos perspectives commerciales, nos occasions d’affaires, nos objectifs, notre développement, nos plans, nos stratégies de croissance et autres priorités stratégiques, et notre position concurrentielle et de chef de file dans nos marchés, l’accroissement de nos parts de marché, la capacité de CAE de répondre à la demande pour les nouvelles technologies et son degré de préparation pour ce faire, la durabilité de nos activités, notre capacité à retirer les anciens contrats comme prévu et à gérer et atténuer les risques qui y sont associés, l’incidence du retrait des anciens contrats, ainsi que d’autres énoncés qui ne concernent pas des faits historiques.

Étant donné que les énoncés et les renseignements prospectifs se rapportent à des événements futurs ou au rendement futur et reflètent les attentes ou les croyances actuelles concernant des événements futurs, ils sont habituellement identifiés par l’emploi de termes comme « prévoir », « croire », « pouvoir », « estimer », « s’attendre à », « avoir l’intention de », « planifier », « chercher à », « devoir », « probable », « stratégie », « futur » ou la forme négative de ces termes ou d’autres variations de ceux-ci laissant entendre la possibilité de résultats futurs ou indiquant des énoncés concernant des perspectives. Tous ces énoncés constituent des « énoncés prospectifs » au sens des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables et des « énoncés prospectifs » au sens des dispositions d’exonération de la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act of 1995.

De par leur nature, les énoncés prospectifs nous obligent à poser des hypothèses et sont assujettis à des risques et incertitudes inhérents liés à notre activité, lesquels pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement des résultats escomptés dans les énoncés prospectifs. Bien que ces énoncés soient fondés sur les attentes et les hypothèses de la direction concernant les tendances historiques, les conditions actuelles et les faits attendus dans l’avenir, ainsi que sur d’autres facteurs que nous jugeons raisonnables et appropriés dans les circonstances, nous avisons le lecteur de ne pas se fier outre mesure aux énoncés prospectifs, puisqu’ils risquent de ne pas être exacts. Les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué représentent nos attentes en date du 12 novembre 2024 et, par conséquent, peuvent changer après cette date. Sauf dans la mesure prévue par la loi, nous rejetons toute intention ou obligation d’actualiser ou de réviser l’un ou l’autre des énoncés prospectifs, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou d’autres facteurs. L’information et les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué sont expressément visés par la présente mise en garde. De plus, les énoncés comportant « à notre avis » ou d’autres expressions semblables reflètent nos opinions sur un sujet donné. Ces énoncés sont fondés sur l’information dont nous disposions en date du présent communiqué. Bien que nous soyons d’avis que cette information constitue un fondement raisonnable à ces énoncés, elle peut être limitée ou incomplète. Nos énoncés ne doivent pas être interprétés comme le reflet d’une enquête exhaustive sur la totalité de l’information pertinente ou d’un examen de toute cette information. Ces énoncés sont intrinsèquement incertains, et les investisseurs sont priés de ne pas s’y fier indûment. Sauf indication contraire de CAE, ces déclarations ne tiennent pas compte de l’incidence potentielle d’éventuels éléments exceptionnels ni des cessions, monétisations, fusions, acquisitions, autres regroupements d’entreprises ou autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 12 novembre 2024. Les répercussions financières de ces transactions et de ces éléments exceptionnels peuvent être complexes et dépendent des faits propres à chacun d’eux. Les répercussions financières de ces transactions et de ces éléments exceptionnels peuvent être complexes et dépendent des faits propres à chacun d’eux. Nous ne pouvons donc pas décrire les répercussions prévues de façon significative ou de la même façon que nous présentons les risques connus qui touchent notre entreprise. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le présent communiqué dans le but d’aider les investisseurs et d’autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers attendus pour l’exercice 2025 et à mieux comprendre l’environnement dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Les lecteurs sont avisés que cette information peut ne pas convenir à d’autres fins.

Hypothèses importantes

Les énoncés prospectifs dans le présent communiqué sont basés sur certaines hypothèses, y compris, sans s’y limiter : la conjoncture de marché, l’instabilité géopolitique, la réceptivité des clients envers nos solutions de formation et de soutien opérationnel, l’exactitude de nos estimations des marchés potentiels et des occasions sur les marchés, la réalisation des économies de coûts récurrentes annuelles prévues et des autres avantages escomptés des initiatives de restructuration et des programmes d’excellence opérationnelle, la capacité de répondre aux pressions inflationnistes prévues et la capacité de compenser les hausses des coûts au moyen de hausses des prix, l’incidence réelle des perturbations logistiques de la chaîne d’approvisionnement mondiale sur l’offre, les niveaux de production et les coûts, la stabilité des taux de change, la capacité à couvrir les risques liés aux fluctuations des taux d’intérêt et des taux de change, la disponibilité d’emprunts sur lesquels effectuer des prélèvements et l’utilisation d’une ou de plusieurs de nos conventions de crédit de premier rang, les liquidités disponibles provenant de notre trésorerie et de nos équivalents de trésorerie, des montants non utilisés sur notre facilité de crédit renouvelable, du solde disponible dans le cadre de notre facilité d’achat de créances, l’hypothèse que nos flux de trésorerie provenant des activités opérationnelles et l’accès continu au financement par emprunt suffiront pour répondre aux besoins financiers dans un avenir prévisible, l’accès aux ressources en capital attendues dans les délais prévus, l’absence de répercussions importantes d’ordre financier, opérationnel ou concurrentiel découlant de modifications de la réglementation touchant nos activités, notre capacité à conserver nos contrats et à en obtenir de nouveaux, notre capacité à achever et à retirer de manière efficace les anciens contrats tout en gérant les risques qui y sont associés, notre capacité à défendre notre position dans le cadre du différend avec l’acheteur de la division CAE Santé, ainsi que la réalisation des avantages stratégiques, financiers et autres attendus de l’augmentation de notre participation dans SIMCOM Aviation Training dans les délais prévus. Le transport aérien est un moteur important de l’activité de CAE et la direction s’appuie sur les analyses de l’Association du transport aérien international (IATA) pour étayer ses hypothèses sur le rythme et le profil de la reprise dans son principal marché de l’aviation civile. Les hypothèses énoncées dans le présent communiqué et, conséquemment, les énoncés prospectifs fondés sur ces hypothèses pourraient donc être inexacts.

Risques importants

Les risques importants, qui pourraient faire en sorte que les résultats ou événements actuels diffèrent considérablement de ceux exprimés ou sous-tendus dans nos énoncés prospectifs, sont mentionnés dans le rapport de gestion de CAE pour l’exercice clos le 31 mars 2024 et dans son rapport de gestion pour le trimestre clos le 30 septembre 2024, disponibles sur notre site Web (www.cae.com), sur SEDAR+ (www.SEDARplus.ca) et sur EDGAR (www.sec.gov). Les lecteurs sont avisés que les risques énoncés pourraient avoir des effets nuisibles importants sur nos énoncés prospectifs. Nous devons souligner le fait que la liste des facteurs de risque n’est pas exhaustive et que d’autres facteurs pourraient également avoir des répercussions défavorables sur nos résultats.

Mesures non conformes aux IFRS et autres mesures financières

Le présent communiqué de presse comprend des mesures financières non conformes aux IFRS, des ratios non conformes aux IFRS, des mesures de gestion du capital et des mesures financières supplémentaires. Ces mesures ne sont pas des mesures financières normalisées en vertu des IFRS; le lecteur doit donc se garder de les confondre avec les mesures du rendement établies conformément aux IFRS ou de les substituer à celles-ci. En outre, il doit éviter de comparer ces mesures aux mesures portant un nom similaire que fournissent ou utilisent d’autres émetteurs. La direction estime que ces mesures sont des indicateurs supplémentaires de notre rendement opérationnel et des tendances en la matière, et qu’elles facilitent la comparaison entre les périodes.

Certaines mesures non conformes aux IFRS et autres mesures financières sont fournies à la fois sur une base consolidée et séparément pour chacun de nos secteurs (Aviation civile et Défense et Sécurité), car nous analysons leurs résultats et leur rendement séparément.

Les calculs des mesures non conformes aux IFRS et les rapprochements avec les mesures les plus directement comparables selon les IFRS sont également présentés ci-après à la section « Calculs et rapprochements » du présent communiqué.

Mesures du rendement

Marge opérationnelle (résultat opérationnel en pourcentage des produits des activités ordinaires)

La marge opérationnelle est une mesure financière supplémentaire qui correspond au résultat opérationnel divisé par les produits des activités ordinaires pour une période donnée. Nous en suivons l’évolution, car nous trouvons qu’elle rehausse la compréhension de notre performance opérationnelle et qu’elle facilite la comparaison entre les périodes.

Résultat opérationnel sectoriel ajusté

Le résultat opérationnel sectoriel ajusté est une mesure financière non conforme aux IFRS qui donne une indication de la rentabilité individuelle des secteurs puisqu’il exclut l’incidence des éléments qui ne se rapportent pas directement à leur rendement. Le résultat opérationnel sectoriel ajusté correspond au résultat opérationnel, ajusté par les coûts de restructuration, d’intégration et d’acquisition, ainsi que les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques importantes ou d’événements particuliers. Les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques importantes ou d’événements particuliers sont constitués de la perte de valeur du goodwill (tel qu’il est décrit à la note 14 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2024), de la perte de valeur de technologies et d’autres actifs non financiers (tel qu’il est décrit à la note 5 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2024) et de la reprise de la perte de valeur d’actifs non financiers par suite de leur réaffectation et optimisation (tel qu’il est décrit à la note 5 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2023). Nous suivons l’évolution du résultat opérationnel sectoriel ajusté, car nous trouvons qu’il rehausse la compréhension de notre performance opérationnelle et qu’il facilite la comparaison entre les périodes. Le résultat opérationnel sectoriel ajusté sur une base consolidée est un total des mesures sectorielles, puisqu’il s’agit de la mesure de rentabilité qu’utilise la direction pour prendre des décisions sur l’attribution des ressources aux secteurs et évaluer la performance sectorielle.

Marge opérationnelle sectorielle ajustée (résultat opérationnel sectoriel ajusté en pourcentage des produits des activités ordinaires)

La marge opérationnelle sectorielle ajustée est un ratio non conforme aux IFRS qui correspond au résultat opérationnel sectoriel ajusté divisé par les produits des activités ordinaires pour une période donnée. Nous en suivons l’évolution, car nous trouvons qu’elle rehausse la compréhension de notre performance opérationnelle et qu’elle facilite la comparaison entre les périodes.

Taux d’imposition effectif ajusté

Le taux d’imposition effectif ajusté est une mesure financière supplémentaire qui s’entend du taux d’imposition effectif sur le résultat net ajusté. Il correspond à la charge d’impôt sur le résultat, divisée par le résultat avant impôt sur le résultat, ajusté en fonction des mêmes éléments utilisés dans le calcul du résultat net ajusté. Nous en suivons l’évolution, car nous trouvons qu’il rehausse la compréhension de l’incidence des fluctuations des taux d’imposition et de la composition des revenus sur notre performance opérationnelle et qu’il facilite la comparaison entre les périodes.

Résultat net ajusté

Le résultat net ajusté est une mesure financière non conforme aux IFRS que nous utilisons comme mesure additionnelle de nos résultats opérationnels. Il correspond au résultat net attribuable aux détenteurs d’instruments de capitaux propres de la Société au titre des activités poursuivies, ajusté par les coûts de restructuration, d’intégration et d’acquisition, ainsi que les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques importantes ou d’événements particuliers, après impôt, de même que les éléments fiscaux non récurrents importants. Les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques importantes ou d’événements particuliers sont constitués de la perte de valeur du goodwill (tel qu’il est décrit à la note 14 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2024), de la perte de valeur de technologies et d’autres actifs non financiers (tel qu’il est décrit à la note 5 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2024) et de la reprise de la perte de valeur d’actifs non financiers par suite de leur réaffectation et optimisation (tel qu’il est décrit à la note 5 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2023). Nous suivons l’évolution du résultat net ajusté, car nous trouvons qu’il rehausse la compréhension de notre performance opérationnelle et qu’il facilite la comparaison entre les périodes.

Résultat par action (RPA) ajusté

Le résultat par action ajusté est un ratio non conforme aux IFRS qui correspond au résultat net ajusté divisé par le nombre moyen pondéré dilué d’actions. Nous calculons ce ratio parce que nous estimons qu’il rehausse la compréhension de notre performance opérationnelle par action et qu’il facilite la comparaison entre les périodes.

BAIIA et BAIIA ajusté

Le BAIIA est une mesure financière non conforme aux IFRS qui correspond au résultat net des activités poursuivies avant l’impôt sur le résultat, les charges financières nettes et la dotation aux amortissements. En outre, le BAIIA ajusté est ajusté par les coûts de restructuration, d’intégration et d’acquisition, ainsi que les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques importantes ou d’événements particuliers. Les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques importantes ou d’événements particuliers sont constitués de la perte de valeur du goodwill (tel qu’il est décrit à la note 14 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2024), de la perte de valeur de technologies et d’autres actifs non financiers (tel qu’il est décrit à la note 5 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2024) et de la reprise de la perte de valeur d’actifs non financiers par suite de leur réaffectation et optimisation (tel qu’il est décrit à la note 5 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2023). Nous utilisons le BAIIA et le BAIIA ajusté pour évaluer notre performance opérationnelle en éliminant l’incidence des éléments hors exploitation ou hors trésorerie.

Flux de trésorerie disponibles

Les flux de trésorerie disponibles sont une mesure financière non conforme aux IFRS qui nous indique les sommes dont nous disposons pour investir dans les occasions de croissance, rembourser notre dette et nous acquitter de nos obligations financières courantes. C’est un indicateur de notre santé financière et de notre liquidité qui correspond aux flux de trésorerie nets liés aux activités opérationnelles poursuivies, dont sont soustraits les dépenses d’investissement en immobilisations liées à la maintenance, les dépenses en immobilisations incorporelles à l’exclusion des frais de développement inscrits à l’actif, les activités d’investissement sans lien avec la croissance, ainsi que les dividendes versés et auxquels sont ajoutés le produit de la cession d’immobilisations corporelles, les dividendes reçus des participations mises en équivalence et le produit des participations mises en équivalence, déduction faite des paiements.

Mesures de la liquidité et de la structure du capital

Rendement du capital utilisé (RCU) ajusté

Le RCU ajusté est un ratio non conforme aux IFRS calculé sur une période de quatre trimestres consécutifs en divisant le résultat net des activités poursuivies attribuable aux détenteurs d’instruments de capitaux propres de la Société, ajusté par les charges financières nettes, après impôt, les coûts de restructuration, d’intégration et d’acquisition, ainsi que les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques importantes ou d’événements particuliers, par le montant moyen du capital utilisé des activités poursuivies. Les pertes de valeur et les autres profits et pertes découlant de transactions stratégiques importantes ou d’événements particuliers sont constitués de la perte de valeur du goodwill (tel qu’il est décrit à la note 14 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2024), de la perte de valeur de technologies et d’autres actifs non financiers (tel qu’il est décrit à la note 5 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2024) et de la reprise de la perte de valeur d’actifs non financiers par suite de leur réaffectation et optimisation (tel qu’il est décrit à la note 5 de nos états financiers consolidés pour l’exercice clos le 31 mars 2023). Nous utilisons le RCU ajusté pour évaluer la rentabilité de notre capital investi.

Dette nette

La dette nette est une mesure de gestion du capital qui nous indique à combien se monte notre dette une fois pris en compte la trésorerie et les équivalents de trésorerie. Elle nous indique quelle est globalement notre situation financière. Elle correspond à la différence entre le montant de la dette à long terme totale, partie courante comprise, et le montant de la trésorerie et des équivalents de trésorerie.

Ratio de la dette nette sur le BAIIA et ratio de la dette nette sur le BAIIA ajusté

Le ratio de la dette nette sur le BAIIA et le ratio de la dette nette sur le BAIIA ajusté sont des ratios non conformes aux IFRS qui correspondent à la dette nette divisée par le BAIIA (ou le BAIIA ajusté) des douze derniers mois. Nous les utilisons parce qu’ils reflètent notre capacité à respecter nos obligations en matière de dette.

Le ratio de la dette nette sur le BAIIA ajusté, abstraction faite des anciens contrats, exclut également l’incidence de la constatation accélérée des risques à l’égard des anciens contrats enregistrée au quatrième trimestre de l’exercice 2024. Le ratio de la dette nette sur le BAIIA ajusté, abstraction faite des anciens contrats, est également pertinent pour mieux comprendre les détails et l’incidence de la constatation accélérée des risques à l’égard des anciens contrats sur notre capacité à respecter nos obligations en matière de dette.

Dépenses d’investissement en immobilisations liées à la croissance et à la maintenance

Les dépenses d’investissement en immobilisations liées à la maintenance sont une mesure financière supplémentaire que nous utilisons pour calculer les investissements devant être réalisés pour maintenir les niveaux courants d’activité économique. Les dépenses d’investissement en immobilisations liées à la croissance sont une mesure financière supplémentaire que nous utilisons pour calculer les investissements devant être réalisés pour accroître les niveaux courants d’activité économique. La somme des dépenses d’investissement en immobilisations liées à la maintenance et à la croissance représente le total de nos dépenses en immobilisations corporelles.

Mesures de la croissance

Prises de commandes ajustées

Les prises de commandes ajustées sont une mesure financière supplémentaire qui nous indique combien valent en principe les commandes que nous avons reçues :

  • Pour le secteur Aviation civile, nous considérons qu’un élément fait partie des prises de commandes ajustées dès l’instant où nous avons avec le client une entente commerciale ayant force obligatoire définissant de façon suffisamment précise les obligations respectives des parties pour constituer les bases d’un contrat. Par ailleurs, les produits des activités ordinaires attendus provenant des clients avec des contrats de formation à court terme et à long terme sont inclus dès que nous avons de la part de ces clients leur engagement à nous payer les honoraires de formation, ou lorsque nous pouvons raisonnablement compter sur la génération des produits des activités ordinaires;
  • Pour le secteur Défense et Sécurité, nous considérons qu’un élément fait partie des prises de commandes ajustées dès l’instant où nous avons avec le client une entente commerciale ayant force obligatoire définissant de façon suffisamment précise les obligations respectives des parties pour constituer les bases d’un contrat. Les contrats du secteur Défense et Sécurité sont généralement réalisés sur une longue période, mais certains d’entre eux doivent être renouvelés chaque année. Pour ce secteur, nous n’inscrivons un élément d’un contrat dans les prises de commandes ajustées que lorsque le client en a obtenu l’autorisation et le financement.

Carnet de commandes ajusté

Le carnet de commandes ajusté est une mesure financière supplémentaire qui représente les produits des activités ordinaires attendus et comprend les commandes engagées, le carnet de commandes des coentreprises de même que les commandes non financées et les options :

  • Les commandes engagées nous indiquent à combien se montent les commandes ajustées que nous avons reçues, mais que nous n’avons pas encore exécutées. Elles correspondent à la somme des prises de commandes ajustées de la période et du solde des commandes engagées à la fin de l’exercice précédent, moins les produits des activités ordinaires comptabilisés pour la période, plus ou moins les ajustements du carnet de commandes. Si le montant d’une commande déjà comptabilisé pour un exercice antérieur est modifié, le carnet de commandes est ajusté;
  • Le carnet de commandes des coentreprises se compose de commandes engagées qui représentent la valeur prévue de notre quote-part des commandes qu’ont reçues les coentreprises, mais qu’elles n’ont pas encore exécutées. Le carnet de commandes des coentreprises est établi sur la même base que pour les commandes engagées telle qu’elle est décrite ci-dessus, mais il exclut toute partie des commandes qui ont été directement sous-traitées à une filiale de CAE, lesquelles sont déjà prises en compte dans la détermination des commandes engagées;
  • Les commandes non financées s’entendent des commandes ayant force obligatoire du secteur Défense et Sécurité que nous avons reçues du gouvernement des États-Unis, mais que nous n’avons pas encore exécutées et pour lesquelles l’autorisation de financement n’a pas encore été obtenue. L’incertitude découle du calendrier des autorisations de financement, qui dépend du cycle budgétaire du gouvernement, lequel est fondé sur une fin d’exercice en septembre. Le carnet de commandes ajusté tient compte des options dont la probabilité d’exercice est élevée, que nous définissons comme étant au moins 80 % probable, mais pas des contrats à exécution indéterminée et à quantité indéterminée (ID/IQ) à plusieurs soumissionnaires. Lorsqu’une option est exercée, elle est inscrite dans les prises de commandes ajustées de la période et est sortie des commandes non financées et des options.

Ratio valeur comptable des commandes/ventes

Le ratio valeur comptable des commandes/ventes est une mesure financière supplémentaire qui correspond aux prises de commandes ajustées divisées par les produits des activités ordinaires pour une période donnée. Nous l’utilisons pour surveiller le niveau de croissance future de l’entreprise au fil du temps.

Définition des renseignements non financiers supplémentaires

Simulateurs de vol (FFS) dans le réseau de CAE

Un FFS est une reproduction en taille réelle d’un cockpit d’avion d’une marque, d’un modèle et d’une série donnés, qui comprend un système de mouvement. Habituellement, le nombre de FFS dans le réseau n’inclut que les FFS haute fidélité et exclut les dispositifs de formation fixes et les autres dispositifs de niveau inférieur, car de tels dispositifs sont généralement utilisés en plus des FFS dans le cadre des mêmes programmes de formation autorisés.

Nombre équivalent de simulateurs (NES)

Le NES est une mesure qui nous indique le nombre moyen total de FFS qui étaient en état de dégager des résultats au cours de la période. Par exemple, dans le cas d’un centre de formation exploité en coentreprise à 50/50, nous ne prenons en compte dans le NES que la moitié des FFS dans ce centre. Lorsqu’un FFS est retiré du service pour être déménagé, il n’est pris en compte qu’une fois réinstallé et en état de dégager des résultats.

Taux d’utilisation

Le taux d’utilisation est une mesure que nous utilisons pour évaluer la performance de notre réseau de simulateurs du secteur Aviation civile. Bien que ce taux n’ait pas de corrélation exacte avec les produits des activités ordinaires comptabilisés, nous l’utilisons, parallèlement à d’autres mesures, puisque nous sommes d’avis qu’il s’agit d’un indicateur de notre rendement opérationnel. Il correspond au nombre d’heures de formation vendues sur nos simulateurs pour la période, divisé par la capacité de formation pratique disponible pour cette même période.

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Samantha Golinski
Vice-présidente, Affaires publiques et Communications mondiales
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Relations avec les investisseurs
Andrew Arnovitz
Vice-président principal, Relations avec les investisseurs et Gestion du risque d’entreprise
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